... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

mercredi 30 novembre 2011

cet instant...

cet instant irréel imperceptible pas même là pas même lasse s'étend comme elle s'éteint, la vie s'allonge comme elle sombre n'y voir lacune cette pénombre mes voeux occis tes zones d'ombre à ce fil nos tréfonds s'oxydent encor ailleurs l'apothéose pour personne temps incertain ton inutile évasion touche au grotesque exhalaison de saveurs amènes ce sac une ignorance parmi les opprobres confuses qui est là pour quelques secondes et qui s'enfuit peut-être... non,  l'ailleurs est ainsi pavé d'intentions décentes ou presque j'attends et n'attends pas ici est une arène à la con ou presque pour quelques hommes l'exode est palpable à la flagrance automnale qui touche  encore demain ? rien . nos atmosphères se délitent. ainsi que trois champs d'investigation flous ou peut-être... à cette onde se perdre ceci est ma place lacunaire au loin d'autres énergumènes j'apostrophe et circonviens au-delà  même du rien et de ses ondes passagères... nos attentes à la nuit, attentes à la nuit, attente à la nuit...

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