... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

mercredi 29 juin 2011

le trou & la ville

j'ai toujours avancé de biais, comme interdit, sans même le vouloir, et pourtant donc ainsi, et pourquoi donc encore... leurs regards croisés à peine, on s'imagine fuir, ils se voient bien debout, je me laisse glisser... je ne suis pas là, avec eux, mais à la nuit fébrile, le trou & la ville, et ce rire, un destin.  ne guette rien, palabre... suffoquent enfin, sans rien dans la pénombre... s'enfoncer aussi par-delà  l'hypothèse aléatoire. versatiles, leurs esquisses s'effacent comme leur trace éclipse...  ne point demeurer, surseoir, et déchanter, pour d'autres nuits  sempiternelles...  au loin, étincelles...

mercredi 22 juin 2011

oZone

oZone, la sienne, infinie & mensongère... pale blue  eyes, ou presque...  ma confusion, corrosion vile sempiternelle... guette son monde et mon émoi... oZone, si proche & lointain... j'enlace encor sa fantaisie, charnelle ... silence ou souffles, amènes... par-delà cet interdit mâtiné... des nuées de temps en poussière... oZone subit & éternel...

mardi 21 juin 2011

S.

l'autolyse est humaine / et corrompus ils sont / cette fenaison blême / brusques nos abandons / munificence même / nébuleux horizon

pour un peu et pour rien
exhorte

attise soulève répands exalte bouscule démonte aimante et vague

ne rien attendre, trembler soudain




vendredi 17 juin 2011

appelons les pandores !

et au plus vite !



hé bé !

idiopathie

dors sors mords plus
suscite ressuscite re re
entends blême écoute pâle
indélicat à l’assaut
cette ombre s’efface
prête encore incertain
déplace peu
cortiZone
idiopathe
résonne même
pourquoi l’entente
suicidaire
et intime
contrefaite
n’escompte point
exhorte
pour rien
feu.

samedi 11 juin 2011

le jour d'après

le jour d’après ne plus penser séduire - seducere - corrompre à l’est trois éléments songent à la distraction à l’écoute baroque d’un frémissement sourd trépidations intenses et abandon véniel j’attends et n’attends rien entends à peine et n’attrape que dalle encore, arrêter, sans entrave s’égare la nuée en cendres déployées, circonvenir ainsi, captifs et violents, ces gestes s’entrelacent en un ballet perfide ozone raréfié - soudain – ne plus vouloir pas eux ensuite je suis là.

mardi 7 juin 2011

ombres

l'envers en un doute, enfin...

lundi 6 juin 2011

foudre une...

foudre une insignifiance en la réminiscence d'hères énergumènes résignés soudain...

vendredi 3 juin 2011

fleischmann was right !


la maladie de hambourg  film allemand de peter fleischmann (1979): scenario: topor( !? ) , avec arrabal dans le rôle d'un paraplégique atrabilaire ( !?!? ), sur un musique de j.m. jarre ( !?!?!? ), avec un teuton se prenant pour le messie ( !?!?!?!? ), et pour la première fois à l'écran (me semble-t-il) une trans nue , face caméra (hé bé ...). et plein d'autres délires encore... 


die hamburger krankheit, du virus à la bactérie...


quelques photogrammes extraits de cette curiosité: