... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

jeudi 31 mars 2016

ardent ici...

destruction distraction élégance égoïne tendre comme elle vibre à l'extime intention vouloir du vide puis non encore du vide éloquence limite intestine innocence savoir cette érosion amène non plan cul à la pénombre scansion tuméfaction bord du gouffre à l'esprit délébile savoir l'entorse après les nuits périples prohibés clandestine exclusive citrique objection après le temps cette inhérence non encore un tel élan au soir cible inextinguible...

Rendre visible l'invisible...


Nude, 1963


Marylin w/ Cat, 1956


Woman & Thistle, 1953


Nude by Sandy's window, 1956


Nude 1940's


Untitled, 1972

mercredi 30 mars 2016

Nuit (Palabre indécision)

Echéance,miroir/Droïde(s) à l'hémistiche/savoir, puis non, latence/& ce soir souvenance,/immonde;/A l'acrylique pure/Cloison en transparence,/éteinte ou/interstices/A l'armistice, lasse/Ce sillon égoïne/En suspens l'incertain/Faillite à l'évidence/De loin en loin limite(s)/Encore un épisode/ Elan énergumène/En air la  déchéance/amène/Merdre,/A la nuit,/Défaites,j'aime beaucoup ce que vous,/Porté par quelque vent contraire ou,/Cette nuit infime,/Intime alors cette atmosphère/Endurable & humaine,/Savoir est cet élan/inédit & gracieux.../Palabre indécision/Ailleurs telle scène.../Ta complainte, scansion/Après la fin de haine/Admirable érosion.../Entendre à la nuit rage instinctuelle.../Pour une seconde après les parallèles...






vendredi 25 mars 2016

Karmacoma


Terre cocue...

(...) L'avoir pèse de tout son poids. Déséquilibre trébuche fout par terre. Faire tomber la tête. Remplir la bouche de cancrelats. Les oreilles à l'aiguille. Anguille sous bosch. Bûche de noël. Les yeux à la chigniole. Rigodon pour un cadavre. Faire danser les os. Tirer les fils. Les fils de dollar. La vie est un régal de nuit. Bruit blanc note marron. Baron de l'injure. Le poëte doit se faire voyou. La clé de l'émancipation est une clé de lave. Un dé de bave dans le champ'. Multiplier les pines. Dresser à coups de petits coups. Création de désir. La glosse commission. Parler l'onglet. Parer les coups. Se décaler piquer. Le coeur bat son homme. Vie congestion. Absolu en amande. Une âme de contre-bande. Castre branle en même temps. L'école fabrique ses petits outils de productivité tout droit. Doigt comme un i dans le nid foi. Encore et encore. Le sous pire. Respirer le fond de la soupière. Un vieux contentieux. Des contes en Suisse des power-fuckeuses. Encore et encore. Des merdes moqueuses. Dis-moi qui est la plus belle. Des visages des fissures. Froisser le ciel toc. Frapper le miel tact. Pubs pape pope. Pépites caca. Papotent nanas. Palpitent neuneus. Nerf de la glaire. Gare aux gorilles. Porcs visqueux et variqueux et creux. Crête de pines. Reine d'anus. L'ustensile à tout faire. Friser baiser cultiver. Rien ne sert de pourrir. Encore faut-il puer à point. Un pont d'or pour la chiasse.(...)

extrait de La peau sur la table in La peau sur la table, suivi de Autoportrait, p.26 (Al Dante) Jérôme Bertin

jeudi 24 mars 2016

un horizon...

Seul, ignorance crasse, attendre la pénombre inénarrable, rien au monde quelque espoir, je sombre, ta mèche est cet au revoir désagrégé mais sincère luttant contre un brouillard absolu mensonger ... Jadis eut été dit: baiser dans l'herbe conséquence(s)... Souvenir hier latence morne, cette atmosphère était-elle la nôtre ? Aliénation palpable non ton hémisphère. Je n'attends rien... Ignorance grège, encor. Savoir te, accorte la durée, même irréalité intense... Depuis toujours, ces errements refuge à la nuit curieux s'obstinent à nos aveuglements, cohérents & licites, voire... Intense,  l'insoutenable désir déraison après l'élan abandon ce parcours même sien. Se perdre est écrire même. Arme merdre temps change à la nuit  possible béance événement. Subjectivité, errance permanence, rien commettre ou, gorge rouge sentence(s). Savoir pas efface ilotisme sentence abandon. Dilemme blême, après ton nom, un horizon... Déflagration seconde lasse...

Bérangère & Romy



sous l'objectif de KDedalus

sublime
 &


Play Blessures (op.1,2,3)






ambiance...



Full album via:

dimanche 20 mars 2016

Bruit blanc

Nos nuits parallèles/bruit blanc
Art of falling apart/merdre
Seconde main magazine
Notre exode, étanche
De la mort en pourpoint
Rien n'existe en dehors, d'où la contorsion
Merdre sporadique, éther
A la nuit, qui existe hier ?
Rien presque
Ou notre mobile/abandon
Savoir nuire perdre haleine
A l'existence roide
A l'échéance amène
Nues nos ruines/Belong the same
Amples nos ignorances accortes
Hermétique cet hémisphère
Après l'ambre énergumène
Couleurs tant insanes
Figé cet abandon, le tien...
Tel armistice, las.





Dire...


L'être à personne



Dans la durée dire la lecture comme on prononce la prière que certaines petites filles inventent parce qu'elles sont soeurs
Une certaine femme dans le couloir récite des mots dont la compréhension achève l'enfance
Son accent signe l'enchantement des signes qu'aujourd'hui ele dément avec folie
Tu m'as demandé de tutoyer l'écriture mais je ne la connais que depuis une chambre d'enfant depuis les poupées les secrets et ces images de saintes, toutes actrices dévorées par des lions
Tu m'as demandé l'être et j'ai attendu entendu le désêtre: une vie de lecture qui ne sait que
crier malmener les préfixes les enfants les souvenirs


d'entre les vivants


la faim intense n'est jamais belle alors que je confonds avec la fin le goût des mots

(...)

J'existe par ce que je lis et lie

Toute durée lue 
Accueille l'évasion en écart
Tu es cet instrument caressé
de bois vêtu

Mon corps poli par l'artisan de l'âme
Dont le livre
Typographiquement

Hésite

Cette figue-collier à la lumière porte le nom
Un matin d'atelier
Toutes les lettres dans la cuisine
Château, Antibes

Si parfum café auprès de chaque carreau
Derrière la vitrine les travaux en ville
Ta chambre fermée
Prise dans le triangle Menton-Mende-Morgat

Contre tes livres contre tes lèvres m'endors
Toute table est de nuit
Sans sommeil, l'insensé rappel
Amour mal écrit est-ce à dire mal lu ?


in lettres au corps, Anne Malaprade, pp.39/42, éditions Isabelle Sauvage

Le Cercle Rouge/La Tactique Du Gendarme




Ainsi, le commissaire Mattéi appréhenda le trio Corey/Vogel/Jansen...
Je ne m'en lasse point.

vendredi 18 mars 2016

Est-ce que...


Bleue nuit

Lointaine la scène, à l'ailleurs aimantée, au jour prochain, encore, à l'avalanche gronde, parmi ces parages silencieux rien, à peine... Prévision roide, atmosphère. Houle interstices, errance malade. Destin merdre irrésolu.
Au mât le soleil agrès sans pareil intime. Ce faisceau  une vie en embardées certaines. L'obscurité menace surface mouvante même. Fiancée terrible, langue lactée... Sans sommeil cet homme, après rotondes et langue aliénée...
La nuit bleue est une errance, au mois sombre à l'affaire, étourdir les silences, garantir les défaites, parmi les oraisons, sans frein cette atmosphère, à la tuile magique, à la course suspecte, et bien après cet an, quelque errement rebelle...

Cet oeil magique...











confer: La BoOp's

jeudi 17 mars 2016

de Proust à Bouillier/Calle: affres du questionnaire 2/2.

Ma vertu préférée:
- celle qui n'élude point le vice.

Le principal trait de mon caractère:
- cette capacité à embrasser l'étrangeté...

La qualité que je préfère chez les hommes:
- la folie douce.

La qualité que je préfère chez les femmes:
- la folie douce.

Mon principal défaut:
- mon inaptitude, absolue & sociale.

Ma principale qualité:
- mon errance incertaine.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis:
- leur présence quand je vais bien.
- leur absence quand je vais mal.

Mon occupation préférée:
- la procrastination

Mon rêve de bonheur:
- pisser de la téquila

Que serait mon plus grand malheur ?
- une amnésie...

A part moi-même, qui je voudrais être ?
- absolument personne, désolé, camarades...

Où aimerais-je vivre ?
- au pays où l'on arrive jamais.

La couleur que je préfère 
- noir brillant.

La fleur que j'aime
- celle de mon secret.

L'oiseau que je préfère:
- celui de mauvais augure.

Mes auteurs favoris en prose:
- Guyotat, Pierre (prose ?!)
- Minard, Céline
- K., Franz
- Bessette, Hélène
- Danielewski, Mark D.
- Sapho, Princesse (!?)
- Beckett, Samuel
- Noël, Bernard

Mes poëtes préférés:
- Isidore Ducasse
- Agnès Rouzier
- Antonin Artaud
- Danielle Collobert
- Anne-Marie Albiach
- Joyce Mansour
- Christophe Tarkos
- Charles Pennequin
- Claude Pélieu
- Roger Gilbert-Lecomte

Mes héros dans la fiction:
- Philip Marlowe
- David Bowman
- Jérôme
- K.
- Molloy
- l'Harmonica

Mes héroïnes favorites dans la fiction:
- Albertine Simonet
- Emma Peel
- Ellen Ripley
- Julie Ballanger
- Varla

Mes compositeurs préférés:
- Erik Satie
- Ennio Morricone

Mes peintres préférés:
- Van Gogh, Vincent
- Munch, Edvard
- Braque, Georges
- Khalo, Frida
- Freud, Lucian
- Basquiat, Jean-Michel

Mes héros dans la vie réelle:
- Max ( aka J.M.)
- Pierre Molinier
- les Phrères simplistes


Mes héroïnes préférées dans la vie réelle:

Ma nourriture & boisson préférée:
- tout avec quelque alcool dedans.

Ce que je déteste par dessus tout:
- la bêtise crasse.

Le personnage historique que je n'aime pas:
- Napo le petit...

Les faits historiques que je méprise le plus:
- l'état français (1940/1944)

Le fait militaire que j'aime le plus:
- la débâcle, quelle qu'elle soit...

La réforme que j'estime le plus:
-celle des 22 heures...

Le don de la nature que je voudrais avoir:
- pisser de la téquila.

Comment j'aimerais mourir :
- Absent voire...

Etat présent de mon esprit:
- Amer...

Faute qui m'inspire le plus d'indulgence:
- la faute de goût

Ma devise: 
- Si tu glandes bien, tu arrives bien.

















de Proust à Bouillier/Calle: affres du questionnaire 1/2.

Quand êtes-vous déjà mort ?
- de rire souvent
- de peur parfois
- de soif jamais

Qu'est-ce qui vous fait vous lever le matin ?
- l'envie de pisser.

Que sont devenus vos rêves d'enfant ?
- mes cauchemars d'adulte.

Qu'est-ce qui vous distingue des autres ,
- mon ADN
- mon esprit, presqu'aussi mauvais que le vin que j'apprécie
- ma capacité à quitter le solide

Vous manque-t-il quelque chose ?
- du temps, perdu ou égaré, voire...

Pensez-vous que tout le monde puisse être artiste ?
- non.

D'où venez-vous ?
- du néant, et je m'apprête à y retourner (comme tout le monde)

Jugez-vous votre sort enviable ?
- absolument pas.

A quoi avez-vous renoncé ?
- Au rock'n roll, camarade.

Que faites-vous de votre argent ?
- je le bois.

Quelle tache ménagère vous rebute le plus ?
- Celle qui s'accumule, voire...

Quels sont vos plaisirs favoris ?
- ceux qui sont interdits.

Qu'aimeriez-vous recevoir pour votre anniversaire ?
- une différente date de naissance.

Citez trois artistes vivants que vous détestez...
(Meilleure question à laquelle trop peu de gens répondent...)
- Charles Aznavour
- Maurice G. Dantec
- Akhenaton, d'Iam

Que défendez-vous ?
- la folie douce.

Qu'êtes-vous capable de refuser ?
- à peu près tout, sauf un verre de mauvais vin...

Quelle est la partie de votre corps la plus fragile ?
- son enveloppe.

Qu'avez-vous été capable de faire par amour ?
- me souvenir de mon oubli.

Que vous reproche-t-on ?
- mon inactualité, sidérante.

A quoi vous sert l'art ?
- à rien, comme tout ce qui est indispensable.

Rédigez votre épitaphe:
- Si tu glandes bien, tu arrives bien...

Sous quelle forme aimeriez-vous revenir ?
- une forme oblongue...

cf: le Bouillier/Calle

Edit: ce pauvre Maurice G. Dantec venant de passer l'arme à gauche, Françoise Hardy prend sa place... jusqu'à la fois prochaine.

Edit 2: Aznave à la trappe... Philippe Sollers le supplée... jusqu'à la fois prochaine.

Edit 3: Sollers, pipe cassée, Houellebecq alors... jusqu'à la fois prochaine. 

mercredi 16 mars 2016

Forever Ian


Orchestral Manoeuvres In The Dark, Souvenir

Archipel.


Aucun amour ne mérite la mort qu'il a. Un archipel.
Rochers affleurant de l'océan. Les oiseaux marins chient dessus. Passent tout leur vie dessus.
Ce qui était autrefois une montagne.
Ou était-ce autrefois une montagne? Est-ce que la Lémurie, Atlantide, Mu ont jamais existé excepté dans les esprits d'hommes enfiévrés par les distances et le rochers qu'ils virent ?
Etait-ce vrai ? La prétention de l'océan du temps à nous posséder peut-elle maintenant dériver ?
Au-dessus de cette terre. Dans cette terre. Autant que je m'en souvienne
Ici (ce rocher là-bas)
C'est plus complexe.

*

Réveillez-vous un doux matin. Voyez la mer dans le lointain.
Die Ferne, eau
Parce que surtout ce n'est pas la terre. Un jour chaud aussi
Les lambouts de brume se sont déjà évaporé
Sont repartis d'où ils venaient. Il y a peut-être une baleine dans cet océan.
Fragments vides, comme les tessons de pots trouvés dans quelque expédition mésopotamienne. Trouvés mais pas assemblés. L'univers
Instable a de la distance mais pas beaucoup plus.
La météo ou la pièce de personne pour inhaler.

*

Extrait de Phonémiques, in  Langage. confer: C'est mon vocabulaire qui m'a fait ça (p.304, Le Bleu Du Ciel) traduction de l'anglais (USA) Eric Suchère

mardi 15 mars 2016

Diffraction(s)

Dernières nouvelles d'avant la lune. Avec l'été égarements maintenant. Colère même rompu(es),  choses de vie ailleurs incompétence, contagion primale confus cet horizon. Point de spectre une absence...
Ce n'était qu'une ombre, égarée en pleine perspective, par-delà haines & désirs dont on perçoit les ondes en les nuits claires de nos souvenirs évanouis...
Ici & là, mémoire pleine, investir désir, vague l'accointance, fêlure à l'hémistiche, fantôme pour fantôme, à l'oreille merdre secrets mouvants, pareil aux sables enivrants...
Quelle réalité en cet hémisphère, quelle réalité en cette mécanique. Savoir quoi non est serein... Durera cette errance comme durera cette ombre...
Ainsi, seule la crasse compte, après l'histoire, dissolution...

Broadway brûle




Complétion

Vouloir être mort pour un soir de plus, point de matin. Abhorre lumière du jour. Se haïr un jeu. Vivre une calamité. Merdre certaine à la pénombre. Attendre boire. Attendre encore. Rien. Parler se perdre parler toujours. Nuire à la bêtise étale. Savoir la fin même. Etre mort à la veille. Elan létal inénarrable. Tant de questions, réponse(s) lasse(s). S'obstiner à achever un souvenir jamais. Désordre inélégance. Amertume innocence latente. Dire l'autre indifférence. Espace/temps intérieur. Extérieur adoncques. Ivre d'errances immobiles, fuir enfin. Point d'ailleurs & commotions. Tourment à la nuit, précieuse. Encor au soir, complétion.

dimanche 13 mars 2016

Nimbe(s) ou...

Favori moyen de transport:
L'Orgasme.

samedi 12 mars 2016

Que je te conduise...


  Il lui avait été impossible d'entrer dans la maison, car il avait entendu une voix qui lui disait: "Attends que je te conduise !" De sorte qu'il était encore devant la maison, couché dans la poussière, bien que tout fût depuis longtemps sans espoir (comme dirait Sarah).
  Tout est chimère, la famille, le bureau, les amis, la rue, tout est chimère, et chimère plus ou moins lointaine, la femme; mais la vérité la plus proche, c'est que tu te cognes la tête contre le mur d'une cellule sans porte ni fenêtre.
in Journal, 21 octobre 1921

vendredi 11 mars 2016

Néant langue espace...

Sauvage errance Agonir La bête Restreinte cependant Espace ailleurs Amollir A la pierre debout alourdit thème Ce vent un poëme de lèvres à peau magnanime Sans lendemain quelle chose référence induite Rompre est ce devoir ainsi fumigène à travers la nuit mensongère Oeil cru noir regard celle du réel réalité insigne Je l'histoire à l'infini du temps l'énigme hier ainsi Soit alors la somme presque Une pensée après l'autre telle est l'indécision Chute réelle à travers rien Ou presque Allégation l'énigme Venir même pour rien Geste ancien que l'amour A tes yeux tel sourire parfois langue lèche ligne... Tu je non même encor contradiction, après malaise, bouche nez larmes amères, non même jour le plus long, confondus stances à la pénombre, & l'autre est moi quand l'instant s'accroît, malgré du toucher long gardien, C tracé après l'éclat de nos monstres posés en trou(s) noir(s), cet image indistincte, Sur la terre prends-moi, catastrophe obscure, toi, Ta langue est cette bouche, ta vérité ce mot, ta nudité cet antre, Que dire encore ce frisson, à l'échine caprice, Ciel, croire encor, touche la terre O paradoxe, Quand l'homme du signe s'éloigne sur terre alone après ces voies les interstices, alentours l'os cette scansion à l'avenir & Déraison unique émotion par-delà qui vibre à la terre présence morts ta pensée est la mienne Imminence après décor ciel avide errant hélas Date douce désespoir et dans le vent. Et cette ligne qui fait des boucles, d'espace/temps peut-être, reste un miroir, de ma langue en ta bouche, un néant d'espace...


merdre²

étendue malade encore interstice nuits ignorances au désarroi peut-être immanence merdre savoir ainsi à l'hémisphère contrit merdre rien n'existe qu'une fin de malice stances délicieuses horizon lointain des événements merdre matière d'éléments à la nuit incertaine suivre un instant inhérence à l'abandon tension merdre savoir à l'ailleurs en scansion être ainsi parmi l'antre conversion limite à l'instant errements...