... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

vendredi 31 mai 2013

heela

hélas...

je ne sais plus je ne sens pas rien d'ailleurs hier est aujourd'hui parfois l'espace d'ombre las appartient à ce nombre inconséquent de la coupe aux lèvres errements mon aliénation un inachèvement détresse interdite et au néant cette limite sordide guérilla corps ébauchant une orbe et pourquoi nous et pourquoi non et ce regard abscons presque incertain se perd parmi les formes cicatrices & traces encore la frustration la lassitude me sont étrangères la nuit le venin désespère et le sens échappe à l'oeuvre vaine n'être rien est être même...

samedi 25 mai 2013

affres

De l'insane. Phénoménale...
- Loin hier.
- Je ne le crois pas.
Intime et déicide. Son altération. Non simple. Etrange voire...
Folie douce/Mélange instable/Geste d'ailleurs/Grotesque phrase
Intolérable.
L'ombre est intense et véhémente;
Ailleurs
est ici, même...
Semonce
- La clef ?
- Ephémère, certes...
Affreusement vide
vaine est l'attente,
Douloureuse ainsi.




jeudi 23 mai 2013

ciel de sang...


23 mai 2013, 21h30...

mardi 21 mai 2013

angle mort

après bien des engeances
et des campagnes vaines
son inélégance est un crime
vivant plus que jamais l'angle mort
se risque;
errance
sur fil âcre
gredin l'espace
et ce malaise
réconfort,
hier certes encor
l'ensemble est un décor
plus qu'incertain...
et merdre voire...

vendredi 17 mai 2013

wake up


hold your mistake up...

jeudi 16 mai 2013

alone

la nuit calamiteuse évanescente n'attendre rien finir en beauté un monde interrompu par delà le malaise d'épines couronné  printemps angoisse  impuissance tromperies illusions... vanité: soit...  hier ici malaise insane. de charybde en scylla quelle merde... il y a encore des souvenirs pour nos prochains malaises. déroutes & ruines englouties ou incertaines... les couteaux s'égarent, et lames luisent, ainsi... un silence en la mémoire, symphonie infernale...  quand l'oeil amer guette le mur du silence, la tempête autour de soi est indécente...

samedi 11 mai 2013

insane (regards)

je suis endorphine, tu es noradrénaline
rien n'existe presque
fibres nerveuses/gliales loges
des mensonges & des vertiges
voies exsangues longues
à perte de vue volatile
ne rien voir est voir encor
tu es létale, je suis mental
il se peut cependant/que nos regards fringants
s'invitent
s'éclipsent
et se perdent
par-delà ces limites
explorer strates vides
quand neuro transmet heurts
l'incidence valide hier certes
nous ne sommes rien
qu'un choc électrique incertain
au-delà de ruines
aux contours nébuleux.