mercredi 2 mars 2011
tumulte(s)
n'aimer rien tant qu'embrasser ton lobe offert boire à ta cou(l)pe des paroles indécentes aux affres fugitives quand ta peau frémissante se perd en brèche indélicate l'amertume éphémère et la fièvre incidente débordent à peine aspirer encor à l'altération mouvante et à ta gorge pâle pour une seconde dériver avec aise en l'interstice immense et viciée d'un univers où la langue passée se perd avec candeur écluser est un monde à l'immanence feinte pour chavirer enfin et distinguer ton ombre... délicieuse ou...
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Rien que des beaux mots pour émaner les plus belles semences.. Où l'amour décadent, assoiffé de passion.
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