le désordre est un corps qui vibre.
désaimante l’éclat en lueur parcellaire.
échafaude limpide
l’insurrection qui ne vient pas.
le poison versatile de ces manières ivres
étroit espoir ou rien
s’insuffle avec lenteur.
le frémissement for
est une palissade.
insaisissable son avènement.
et ce halo au loin une illumination
fallacieuse et fractale.
en quelque zone d’ombre, une désabusion.
dimanche 10 octobre 2010
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