samedi 31 octobre 2015
Sombrevoyance
Ignorer temps de latence instinctuelle état de chute sombrevoyance cette vie pour la tienne démence s'égarer en chemin jamais vivre exaspère merdre n'être rien que cet autre pas même dériver en conscience encore quelques mètres avant ce débarras...
Séance de rêve éveillé
Man Ray, Séance de rêve éveillé, 1924
Starring: Max Morise, Roger Vitrac, Jacques-André Boiffard, André Breton, Paul Eluard, Pierre Naville, Giorgio de Chirico, Philippe Soupault, Jacques Baron, Robert Desnos, Simone Kahn Breton
Surréalisme
Le texte
Identité de l'instant / A l'errement ainsi / Excès du corps / Disparition / Mouvement de lecture, traverse / Labiale indolence / Le texte / Prolongement de la main / à pierre commencement murmure(s) / Ondulatoire élan / Extime dimension / Plissure ressassée / Induite / encor quelque instant ce doute / Rien n'existe que la nuit...
jeudi 29 octobre 2015
Catharsis...
La nuit est sa lèvre attraction/Noircir, cette balade lasse/Un frisson, abréaction/Menace écume vassale/Caresse au corps/Intimes doléances/Baise insignifiance ainsi/Encore quelque seconde/Prudence/Jusqu'à l'impossible élan/Dangers voire/Univers/D'espace espèces mensongères/Tout disparaît horizon tangue/Inscrire un temps en cette errance/Parfois/Silence monde marqué par ces frissons/Tourments incessants par-delà les tempes/Au soir, préférer l'esquive à cet écueil/A l'os, cette histoire d'omphale/Scintillement overdose/Verticalité du visible/Identité nulle part poussières/Eternité de l'instant...
mercredi 28 octobre 2015
lundi 26 octobre 2015
Simulacre
Sentiment diffus
Paysages
Oeil humain
Devenir langage
Ou
Instinct(s)
Partielle indolence
Latence
Lien
A cette imminence
Rien
De contrées lointaine
En paracousies
Stupéfactions
& Limites même
Itération
Après cette fin
Légendes urbaines
A l'éclosion
Simulacre
Paysages
Oeil humain
Devenir langage
Ou
Instinct(s)
Partielle indolence
Latence
Lien
A cette imminence
Rien
De contrées lointaine
En paracousies
Stupéfactions
& Limites même
Itération
Après cette fin
Légendes urbaines
A l'éclosion
Simulacre
samedi 24 octobre 2015
Convulsion
Nous n'avons fait qu'errance/siècles incertains/s'oublier même encor/par-delà libations nos rotations contraires/pire en mieux, avant/barricades fécondes/élan d'itinérance/telle fin vagabonde/nos cieux hésitants/restent nos alliés/nous avançons aveugles/en un champ éreinté/à la nuit redoutable/dis-moi quelque instant/où sont nos avalanches/perturbations lascives/souvenirs d'étincelle/innocence passée/convulsion/bouches d'ombre/de fièvres en dérélictions/fantômes errements...
vendredi 23 octobre 2015
Londres, 1980
Chrissie Hynde, Debbie Harry,Viv Albertine, Siouxie Sioux
Poly Styrene, Pauline Black
Photographie: Michael Putland
mercredi 21 octobre 2015
Lettre de Molinier à Mansour, 10 janvier 1956
Joyce Mansour, être fluide, aérien, éveille la sensation d'une chute "ascendante" que l'on voudrait sans fin. Indéfini si précieux dans l'étrange qu'il fait sourdre un impérieux désir bien au-delà du coït.
lundi 19 octobre 2015
dimanche 18 octobre 2015
Créatures...
Créatures... Paupières d'ombre.
Silices tendres à la pénombre.
Rien n'existe depuis...
S'étale amène ton absence
Née maligne, l'éternité de l'instant
Par ici, tout ce vide, latent
Molle montre solitude légende
Toits de Frisco monde même
Après l'unième, intentions
Soleil noir cauchemar erratique.
Silices tendres à la pénombre.
Rien n'existe depuis...
S'étale amène ton absence
Née maligne, l'éternité de l'instant
Par ici, tout ce vide, latent
Molle montre solitude légende
Toits de Frisco monde même
Après l'unième, intentions
Soleil noir cauchemar erratique.
samedi 17 octobre 2015
Intempérance
Fantasque adolescence; verge & vulve l'espace, sommeil infini enfonce l'extase, morsures démesures involontaires, en rêve y croire, après... Ta membrane frémissante - convulsions démentes encore désespère assez... Frissons indolents, masque à l'absence pour rien et pour tout tentation odieuse térébrante atmosphère... parois voluptueuses, douceur, ensuite zone lente dorsale épine amène presque... ton horizon pâleur à d'autres hémisphères... Être là, ainsi...
jeudi 15 octobre 2015
Impudence...
Crier non cellule par-delà errance encore fragments d'abîme convulsion(s) menace élan atmosphère socialement inapte latence inonde grisâtre l'ignorance crasse innocence selfie partout l'amertume délie les langues étranges & mensongères finir ici électrique problème incohérence ainsi métal froid la nuit évidence éphémère anonyme miroir par instant panse main courante ou... Un soir parmi les errements licence amène violence à l'autre hémisphère encontre ivre.... Complaisance merdre lente ou lasse adoncques; parmi cela nom, à la nuit... Dérive amène ou... Quelque instant... A l'atome fission par-delà inaction du plomb après esthète & déambulation... Voire...
mercredi 14 octobre 2015
Cléo, dérives
Souvenance intime
Ton errance
Mon vertige
Ta surface
Mon estime
Tu t'accroches
Je tends mon poing
Et par-delà...
Incandescents des bouts de toi
Au soir scintillent
Ta parole
Ton espace
Ton rire
Cette nuit.
Figée, mouvante, je te suis
Encore
Jusqu'à l'abîme
Ce désir ardent
Que rien n'illumine
Sauf toi.
Ton errance
Mon vertige
Ta surface
Mon estime
Tu t'accroches
Je tends mon poing
Et par-delà...
Incandescents des bouts de toi
Au soir scintillent
Ta parole
Ton espace
Ton rire
Cette nuit.
Figée, mouvante, je te suis
Encore
Jusqu'à l'abîme
Ce désir ardent
Que rien n'illumine
Sauf toi.
lundi 12 octobre 2015
Oh Bondage Up Yours !
Free Kitten - Oh Bondage Up Yours !
X Ray Spex - Oh Bondage Up Yours !
Libellés :
free kitten,
julia cafritz,
kim gordon,
poly styrene,
X ray spex
samedi 10 octobre 2015
jeudi 8 octobre 2015
mercredi 7 octobre 2015
dimanche 4 octobre 2015
Pèlerin
Ma fureur ton mystère
Ces élans telluriques
Ténébreux
Et fragiles
Thaumaturge
En ces vies endorphines
Mon errance est tienne
Après le soir
Ailleurs est là
Quand je te cède
Amène
Quelque élément de mon désir ardent
Mon trouble est souverain
A l'accolade
Flamme immanence
Quand je te sens
Impatiente
Je serai ton catéchumène.
le désir, la peur.
Toujours la même pensée, le désir, la peur. Je suis cependant plus calme que d'habitude, comme si une grande transformation était en train de s'accomplir dont je serais le frémissement lointain. C'est trop dire.
in Journal, 6 Juillet 1919
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