se taire par la photo: aphorismes (J.R.)
jacques roubaud porte un tricot de peau inspiré de georges pérec, en proustiennes considérations sur l'incipit le plus fameux de la littérature universelle...
samedi 31 juillet 2010
jeudi 22 juillet 2010
journal d'une semaine
- valdingage... fossé... la calenche a souri, à peine... d'autres, non. absolument pas.
- vu saw V, navet effectif, c'est avec impatience que j'attends saw VI, avec du pain brioché et du ketchup...
- liliane, vous n'auriez pas deux ou trois millions d'euros...
- Lu LaureLi - eros peccadille, les poëtesses sont capiteuses, assurément. de certains mercis à elles...
- mon secret: n'en avoir point, ou presque...
- adore adore by yoav
- se perdre à la nuit claire
- évasement rose annick ... pierre g. was here; un carnet nomade de colette f., intense
- sans fin lueurs incertaines
- the vaselines , redécouverte , de loin:
gun ?
man ?
dyin' ?
quand la nuit s'étend, j'apprécie ma vie, insane...
- vu saw V, navet effectif, c'est avec impatience que j'attends saw VI, avec du pain brioché et du ketchup...
- liliane, vous n'auriez pas deux ou trois millions d'euros...
- Lu LaureLi - eros peccadille, les poëtesses sont capiteuses, assurément. de certains mercis à elles...
- mon secret: n'en avoir point, ou presque...
- adore adore by yoav
- se perdre à la nuit claire
- évasement rose annick ... pierre g. was here; un carnet nomade de colette f., intense
- sans fin lueurs incertaines
- the vaselines , redécouverte , de loin:
gun ?
man ?
dyin' ?
quand la nuit s'étend, j'apprécie ma vie, insane...
jeudi 15 juillet 2010
dimanche 11 juillet 2010
l'autre nuit...
s'endormir au soir;
s'éveiller à la nuit,
en une foire lasse...
des sons tourmentés sculptent l'oreille interne au bout des doigts peut-être un amplificateur déforme l'air ambiant par-delà son épaule un monde d'ombres vives altère cet espace en fugitive trace spoliée l'indécence négligé le désordre et si la terre tremble c'est en salves liées par l'arcane incertain elle vibre la corde et sa torsion partielle est la consolation des esprits abîmés qui se pressent toujours vers la lumière rouge de l'aube fallacieuse ses contours indistincts sont des caresses sombres si l'attente est un leurre et le feu un hasard l'onde crépusculaire s'étend avec lenteur au détour d'un désir inassouvi et blême insane est cette angoisse incongru le cortège il s'ébranle béat vers ce monde étranger qu'il ne connaît que trop
s'éveiller au soir;
et ne plus dormir,
jamais...
s'éveiller à la nuit,
en une foire lasse...
des sons tourmentés sculptent l'oreille interne au bout des doigts peut-être un amplificateur déforme l'air ambiant par-delà son épaule un monde d'ombres vives altère cet espace en fugitive trace spoliée l'indécence négligé le désordre et si la terre tremble c'est en salves liées par l'arcane incertain elle vibre la corde et sa torsion partielle est la consolation des esprits abîmés qui se pressent toujours vers la lumière rouge de l'aube fallacieuse ses contours indistincts sont des caresses sombres si l'attente est un leurre et le feu un hasard l'onde crépusculaire s'étend avec lenteur au détour d'un désir inassouvi et blême insane est cette angoisse incongru le cortège il s'ébranle béat vers ce monde étranger qu'il ne connaît que trop
s'éveiller au soir;
et ne plus dormir,
jamais...
jeudi 1 juillet 2010
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