parole sourde
rayonnement fossile
spectaculaire diffus
partout, dans la pénombre
à l'absence
imperturbable
une étendue grêle
arachnéenne
désastre observation en souvenance lente marque l'itinéraire de quelque estafilade éphémère et lucide en cet éclair transi l'injure faisait corps déchirements torture atomes atrophiés en toile altérations comme des évidences viciées et subites
définitive
si peu.
dimanche 30 janvier 2011
vendredi 28 janvier 2011
culturiste & poëte
ce à quoi j'ai aspiré : le pouvoir, un apparat tout extérieur. je n'ai rien connu qui fussent des valeurs plus personnelles, des besoins plus intenses ou plus profonds. déterminée très tôt par les valeurs sociales du pouvoir et de son expression, j'ai choisi à l'orée de l'enfance les deux faces tyranniques du corps et de la pensée : le muscle et l'écriture.
à l'intérieur de ces voies, je n'avais accès qu'au vide - je n'y mettais que le désir - et dans ce vide, à la plénitude de mon exigence, à l'avidité effrénée qui me portait, toujours plus tendue dans une énergie surfocalisée.
durant de longues années, je piétinais, il me fallait trouver des thèmes.
in éros androgyne
j'aimais les gémissements pleins de finesse et de charme de la jouissance d'A., ses deux sortes de cris se ressemblaient mais les derniers étaient plus nombreux, démultipliables. ils prenaient aux tripes. des gammes, un chant avec une signification précise, une mélodie, une beauté. je lui dis: "chante-moi encore tes petits cris" que mon oreille puisse jouir, que mon âme, que mon coeur puissent battre à l'unisson, que tu comprennes le cadeau précieux que tu me fais. je te mordille comme pour jouer d'un instrument musical, je t'arrache, un à un, de jolis petits poils, pour le plaisir d'entendre les sons de ta complainte. je mords les petits tétons, les petites fraises des bois, encore plus rouges, encore plus vives, entre l'émail de mes dents, et tu aimes qu'il en soit ainsi. je racle de mes ongles ta peau. je bats tes fesses. je perfore ton trou. je bouffe sans ménagement ta queue. je fais attention à ne pas transpercer d'un coup de dent, tes couilles, mais je m'énerve de leur beauté. je triture ta chair. j'enserre et compresse de mes muscles, devenus sauvages, ton corps. je suis habitée d'une joie carnassière. je hais d'amour.
in musculatures
à l'intérieur de ces voies, je n'avais accès qu'au vide - je n'y mettais que le désir - et dans ce vide, à la plénitude de mon exigence, à l'avidité effrénée qui me portait, toujours plus tendue dans une énergie surfocalisée.
durant de longues années, je piétinais, il me fallait trouver des thèmes.
in éros androgyne
j'aimais les gémissements pleins de finesse et de charme de la jouissance d'A., ses deux sortes de cris se ressemblaient mais les derniers étaient plus nombreux, démultipliables. ils prenaient aux tripes. des gammes, un chant avec une signification précise, une mélodie, une beauté. je lui dis: "chante-moi encore tes petits cris" que mon oreille puisse jouir, que mon âme, que mon coeur puissent battre à l'unisson, que tu comprennes le cadeau précieux que tu me fais. je te mordille comme pour jouer d'un instrument musical, je t'arrache, un à un, de jolis petits poils, pour le plaisir d'entendre les sons de ta complainte. je mords les petits tétons, les petites fraises des bois, encore plus rouges, encore plus vives, entre l'émail de mes dents, et tu aimes qu'il en soit ainsi. je racle de mes ongles ta peau. je bats tes fesses. je perfore ton trou. je bouffe sans ménagement ta queue. je fais attention à ne pas transpercer d'un coup de dent, tes couilles, mais je m'énerve de leur beauté. je triture ta chair. j'enserre et compresse de mes muscles, devenus sauvages, ton corps. je suis habitée d'une joie carnassière. je hais d'amour.
in musculatures
offense
nuit primale
originelle sédition
il rôde
technique de l'abîme
je n'ai pas vu hier cet éclat brut & oblong sous ma peau avec répulsion il s'étendait presque...
dissipation leurre
clandestine transe
hile infinitif
il avance amène
les mécanismes flous du réel s'avivent, maladroits...
l'image mobile
échouage blême
fantôme de plastic
en allée funeste
ils ont la parole et les mouvements en structure indemne...
on ne sait plus bien
cette obscurité
et quelque poussière
il diffère enfin
à cet horizon étincellent ainsi des fragments d'audace grande & illusoire...
enfin...
originelle sédition
il rôde
technique de l'abîme
je n'ai pas vu hier cet éclat brut & oblong sous ma peau avec répulsion il s'étendait presque...
dissipation leurre
clandestine transe
hile infinitif
il avance amène
les mécanismes flous du réel s'avivent, maladroits...
l'image mobile
échouage blême
fantôme de plastic
en allée funeste
ils ont la parole et les mouvements en structure indemne...
on ne sait plus bien
cette obscurité
et quelque poussière
il diffère enfin
à cet horizon étincellent ainsi des fragments d'audace grande & illusoire...
enfin...
jeudi 27 janvier 2011
ou le siècle à venir sera celui du refus, ou il ne sera qu'espace carcéral.
dormez. dormez, heureux mortels. de ce sommeil qui sera peut-être le dernier. bouche entrouverte. lèvres molles. un limon de salive plaqué aux commissures. comme un sang pâle. comme du sang blanc. râ-râ-râle du mort-vivant. la vie s'avorte au coeur ralenti. heures de la nuit et des cadavres. toute une partie de la terre s'achemine en même temps à pas de velours vers l'archipel des gisants. l'homme expire approximativement dans son rêve. demain est une abstraction de haute mathématique. demain, qui n'a de sens que vécu.
in septentrion
comment expliquer ce qui se passe dans le coffre pendant ces brusques poussées de déflagration qui règlent les battements de vos artères sur les pulsations secrètes du monde? sensation de devenir pour tout de bon le centre hyper-réceptif de l'univers en gestation. la pensée quitte avec éclat le siège de la captivité. résout, comprend, élucide au micro-poil. les équations mathématiques les plus ardues, si elles lui étaient proposées, se trouveraient résolues comme de vulgaires additions de deux chiffres. le mystère se déchirait autour de moi. j'émergeais de ma glaise. mes ailes récurées, j'allais prendre mon envol triomphal. bien que mon apparence d'homme n'ait pas changé et que personne ne fût capable de me distinguer dans la foule. cette foule d'êtres en déplacement s'était résorbée sous son plus faible volume, de la grosseur d'une noix, disons, afin de s'agglomérer sans histoire à mes propres cellules, circuler dans mon réseau sanguin avec la même force nutritive qu'une injection de liquide vitaminé. la foule, c'était moi. contenant de toute forme vivante. de là à m'annexer dieu par la même occasion, il n'y avait qu'un pas. j'étais donc le réceptacle de dieu. et puis dieu lui-même. et puis l'esprit de dieu. et puis plus rien que l'esprit. légère volute de fumée bleue qui paresse, indécise, au-dessus des toits de la ville. ne faisait qu'un avec l'éther. ce qui restait en moi de plastique devenait sphérique. comme les astres. comme l'orbite invisible de la roue. comme le serpent et la carcasse de la destinée. on n'entendrait désormais ma voix que par l'intermédiaire du souffle de l'animation. je veillerais à l'onction du baptême. qu'il soit d'eau ou de feu. et si je devais revenir parmi vous un jour, je me présenterais aux portes de la ville monté sur un âne robuste et paisible. pour recommencer, mais cette fois victorieusement, le combat des marais contre l'hydre.
in septentrion
(...) elle est une déchirure de beauté.
in la mécanique des femmes
des fruits chasseurs d'oiseaux des nuques qui frissonnent
une jambe au bas noir silhouettes légères
sur la table une main aux doigts qui s'abandonnent
le regard agaçant des jeunes étrangères
des rires éclatés des lèvres qui buissonnent
un orage bleui de cheveux en jachère
tous ces mots incompris et ces accents qui sonnent
la vie comme est la vie et ma vie aux enchères
in poëmes ébouillantés
tu es l'odeur d'une fourrure
du pétrole bleu dans le port
tous les vents à leur encolure
le sel et les sables d'armor
tu es l'oubli d'une coiffure
la silhouette d'un décor
le jeu d'une tendre torture
où le tricheur est le plus fort
tu es l'invisible fêlure
du géomètre de la mort
in londoniennes
minuit sonne on ne sait où dans la ville.le vent grince contre la fenêtre de la chambre qu'elle a assombrie en jetant un foulard sur la seule lampe allumée.la chaleur est flottante.
assise sur le bord du lit, elle sait que je la regarde enlever ses bas.
in la mécanique des femmes
rester un esprit vivant. ne croire ni aux formules honorifiques ni aux fonctions. vivre comme on éclaterait. être de la jeunesse en action. se foutre du monde et hurler.
in situation
in septentrion
comment expliquer ce qui se passe dans le coffre pendant ces brusques poussées de déflagration qui règlent les battements de vos artères sur les pulsations secrètes du monde? sensation de devenir pour tout de bon le centre hyper-réceptif de l'univers en gestation. la pensée quitte avec éclat le siège de la captivité. résout, comprend, élucide au micro-poil. les équations mathématiques les plus ardues, si elles lui étaient proposées, se trouveraient résolues comme de vulgaires additions de deux chiffres. le mystère se déchirait autour de moi. j'émergeais de ma glaise. mes ailes récurées, j'allais prendre mon envol triomphal. bien que mon apparence d'homme n'ait pas changé et que personne ne fût capable de me distinguer dans la foule. cette foule d'êtres en déplacement s'était résorbée sous son plus faible volume, de la grosseur d'une noix, disons, afin de s'agglomérer sans histoire à mes propres cellules, circuler dans mon réseau sanguin avec la même force nutritive qu'une injection de liquide vitaminé. la foule, c'était moi. contenant de toute forme vivante. de là à m'annexer dieu par la même occasion, il n'y avait qu'un pas. j'étais donc le réceptacle de dieu. et puis dieu lui-même. et puis l'esprit de dieu. et puis plus rien que l'esprit. légère volute de fumée bleue qui paresse, indécise, au-dessus des toits de la ville. ne faisait qu'un avec l'éther. ce qui restait en moi de plastique devenait sphérique. comme les astres. comme l'orbite invisible de la roue. comme le serpent et la carcasse de la destinée. on n'entendrait désormais ma voix que par l'intermédiaire du souffle de l'animation. je veillerais à l'onction du baptême. qu'il soit d'eau ou de feu. et si je devais revenir parmi vous un jour, je me présenterais aux portes de la ville monté sur un âne robuste et paisible. pour recommencer, mais cette fois victorieusement, le combat des marais contre l'hydre.
in septentrion
(...) elle est une déchirure de beauté.
in la mécanique des femmes
des fruits chasseurs d'oiseaux des nuques qui frissonnent
une jambe au bas noir silhouettes légères
sur la table une main aux doigts qui s'abandonnent
le regard agaçant des jeunes étrangères
des rires éclatés des lèvres qui buissonnent
un orage bleui de cheveux en jachère
tous ces mots incompris et ces accents qui sonnent
la vie comme est la vie et ma vie aux enchères
un jour viendra
du temps sans moi
un jour viendra
du temps sans moi
in poëmes ébouillantés
tu es l'odeur d'une fourrure
du pétrole bleu dans le port
tous les vents à leur encolure
le sel et les sables d'armor
tu es l'oubli d'une coiffure
la silhouette d'un décor
le jeu d'une tendre torture
où le tricheur est le plus fort
tu es l'invisible fêlure
du géomètre de la mort
in londoniennes
minuit sonne on ne sait où dans la ville.le vent grince contre la fenêtre de la chambre qu'elle a assombrie en jetant un foulard sur la seule lampe allumée.la chaleur est flottante.
assise sur le bord du lit, elle sait que je la regarde enlever ses bas.
in la mécanique des femmes
rester un esprit vivant. ne croire ni aux formules honorifiques ni aux fonctions. vivre comme on éclaterait. être de la jeunesse en action. se foutre du monde et hurler.
in situation
mercredi 26 janvier 2011
les enfants sont formidables - vraiment...
eric zemmour est politiquement incorrect
patrick poivre d'arvor est politiquement incorrect
liliane bettencourt est politiquement incorrecte
ingrid betencourt est politiquement incorrecte
jean-marc rouillan est politiquement incorrect
nicolas demorand est politiquement incorrect
luis fernandez est politiquement incorrect
olivier besancenot est politiquement incorrect
le chien de m. houellebecq est politiquement incorrect
micheline dax est politiquement incorrecte - quand elle siffle
charles aznavour est politiquement incorrect
manu chao est politiquement incorrect
sophie davant est politiquement incorrecte
damien saez est politiquement incorrect
philippe sollers est politiquement incorrect
angelina jolie est politiquement incorrecte
zinédine zidane est politiquement incorrect
christophe alévêque est politiquement incorrect
jean-louis aubert est politiquement incorrect
björk est politiquement incorrecte - surtout dans les aéroports
francis heaulme est politiquement incorrect
nicole kidman est politiquement incorrecte
jean-luc delarue est politiquement incorrect
oussama bin laden est politiquement incorrect
francis cabrel est politiquement incorrect
jean-louis borloo est politiquement incorrect
julien coupat est politiquement incorrect
julien clerc est politiquement incorrect
julien lepers est politiquement incorrect
jean-pierre chevènement est politiquement incorrect - ou son coma
william leymergie est politiquement incorrect
le fils sodomite de p. de villiers est politiquement incorrect
michel sardou est politiquement incorrect
marine cartier est politiquement incorrecte
patrice alègre est politiquement incorrect
claude allègre est politiquement incorrect
laurent romejko est politiquement incorrect
ma bitte est politiquement incorrecte
mon couteau est politiquement incorrect
andré rieu est politiquement incorrect - ainsi que son violon
yoko ono est politiquement incorrecte
zine el-abidine ben ali est politiquement incorrect
mikael kael est politiquement incorrect
chantal akerman est politiquement incorrecte
régis jauffret est politiquement incorrect
le rédac' chef de téléstar est politiquement incorrect
le médecin de m. jackson est politiquement incorrect
les IST sont politiquement incorrectes
albert de monaco est politiquement incorrect
j.l. godard est politiquement incorrect - 24 fois par seconde...
quant à nadine morano, il y a deux syllabes de trop dans son nom...
la paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu'un si grand nombre d'hommes, après que la nature les a affranchis depuis longtemps d'une direction étrangère, restent cependant volontiers leur vie durant, mineurs, et qu'il soit si facile à d'autres de se poser en tuteurs des premiers. il est si aisé d'être mineur ! (l'inénarrable emmanuel kant)
si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme telle qu'elle est, infinie (william blaaaaaaaaaaake)
concept frelaté chasse tirée...
patrick poivre d'arvor est politiquement incorrect
liliane bettencourt est politiquement incorrecte
ingrid betencourt est politiquement incorrecte
jean-marc rouillan est politiquement incorrect
nicolas demorand est politiquement incorrect
luis fernandez est politiquement incorrect
olivier besancenot est politiquement incorrect
le chien de m. houellebecq est politiquement incorrect
micheline dax est politiquement incorrecte - quand elle siffle
charles aznavour est politiquement incorrect
manu chao est politiquement incorrect
sophie davant est politiquement incorrecte
damien saez est politiquement incorrect
philippe sollers est politiquement incorrect
angelina jolie est politiquement incorrecte
zinédine zidane est politiquement incorrect
christophe alévêque est politiquement incorrect
jean-louis aubert est politiquement incorrect
björk est politiquement incorrecte - surtout dans les aéroports
francis heaulme est politiquement incorrect
nicole kidman est politiquement incorrecte
jean-luc delarue est politiquement incorrect
oussama bin laden est politiquement incorrect
francis cabrel est politiquement incorrect
jean-louis borloo est politiquement incorrect
julien coupat est politiquement incorrect
julien clerc est politiquement incorrect
julien lepers est politiquement incorrect
jean-pierre chevènement est politiquement incorrect - ou son coma
william leymergie est politiquement incorrect
le fils sodomite de p. de villiers est politiquement incorrect
michel sardou est politiquement incorrect
marine cartier est politiquement incorrecte
patrice alègre est politiquement incorrect
claude allègre est politiquement incorrect
laurent romejko est politiquement incorrect
ma bitte est politiquement incorrecte
mon couteau est politiquement incorrect
andré rieu est politiquement incorrect - ainsi que son violon
yoko ono est politiquement incorrecte
zine el-abidine ben ali est politiquement incorrect
mikael kael est politiquement incorrect
chantal akerman est politiquement incorrecte
régis jauffret est politiquement incorrect
le rédac' chef de téléstar est politiquement incorrect
le médecin de m. jackson est politiquement incorrect
les IST sont politiquement incorrectes
albert de monaco est politiquement incorrect
j.l. godard est politiquement incorrect - 24 fois par seconde...
quant à nadine morano, il y a deux syllabes de trop dans son nom...
la paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu'un si grand nombre d'hommes, après que la nature les a affranchis depuis longtemps d'une direction étrangère, restent cependant volontiers leur vie durant, mineurs, et qu'il soit si facile à d'autres de se poser en tuteurs des premiers. il est si aisé d'être mineur ! (l'inénarrable emmanuel kant)
si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme telle qu'elle est, infinie (william blaaaaaaaaaaake)
concept frelaté chasse tirée...
dimanche 23 janvier 2011
fallin'
pareille au même VOILA L'HISTOIRE
entendre l'univers, est autre...
entendre l'univers, est autre...
enfant
un matin
au réveil
un sentiment d'éternité
merdique
perception abandon relâchement féroce
encore de cet éclat, intermittent
la conjoncture est à la maladresse,
l'espace/temps s'évapore avec lenteur, et perle sur les fronts
nocturne errance
à la poursuite
d'un flot de basse continue
suspect
pareille au même L'ENIGME
fluctuante vagabonde
la phrase est phase
circonlocutoire
déplace les lignes
traverse les lieux
cendrée la fragilité passagère
son halo à la lune, incertain
air fendu en une délivrance
spectrale obsession
consumée
à l'enivrante
exhalaison
au loin ça cligne tant
à peine
pareille au même LA CHUTE
et son ravissement.
samedi 15 janvier 2011
legs
clandestine obscurité perdue prochaine heure enfouie
ainsi le sort
percussions paraben pure malt
élucidation soudaine
et puis non
part des anges
illusoires
time ended yestarday
dans le souvenir
ébloui
tirant à l'écarlate cette lèvre pâle
tue
aux affres passagères
insertion/délétion
dans la pénombre même quelque sens du combat
ainsi le sort
percussions paraben pure malt
élucidation soudaine
et puis non
part des anges
illusoires
time ended yestarday
dans le souvenir
ébloui
tirant à l'écarlate cette lèvre pâle
tue
aux affres passagères
insertion/délétion
dans la pénombre même quelque sens du combat
vendredi 14 janvier 2011
furie
soulèvement trouble impact écrasement de la perspective perpétuelle fronde...
basement 5 riot
Libellés :
basement 5,
quitter le solide,
y revenir
dimanche 9 janvier 2011
W
sangles longues monocorde nulle empreinte effacée dehors blêmes morne autumn j'attends ou presque notre enivrement voire son collapsus...
mercredi 5 janvier 2011
latence(s)
point d'orgue,
aucun air aussi terrible fut-il
corps émancipé, matière même
s'est donné de la peine
slup siorc y'n ej
semota siort uo nier etteug ej
sruellia uo ecnelis en
à la péninsule tenue
pour un temps incertain
nuit sans lune pas d’ombre de la confusion
d'abord la fatigue à l'usage l'usure
seul déjeté
rien à voir
latence(s)
perspective sublime
hier encor
l'ignorance
là nier, le feu...
le concept est insane
et crâne son expiration...
aucun air aussi terrible fut-il
corps émancipé, matière même
s'est donné de la peine
slup siorc y'n ej
semota siort uo nier etteug ej
sruellia uo ecnelis en
à la péninsule tenue
pour un temps incertain
nuit sans lune pas d’ombre de la confusion
d'abord la fatigue à l'usage l'usure
seul déjeté
rien à voir
latence(s)
perspective sublime
hier encor
l'ignorance
là nier, le feu...
le concept est insane
et crâne son expiration...
samedi 1 janvier 2011
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