René Magritte, 1930.
Nuit l'hier effarement métamorphe à la lisière du monde un égarement la pénombre une histoire l'horizon semonce noradrénaline destins éphémères délétères front de lignes après l'ennui immanence lasse même encore endorphines savoir le soir et cet infini qui se laisse attendre connaître à l'an l'abscisse avant l'ordonnée de l'univers à ce trait une transe - ailleurs limite...
Scansion éphémère par-delà cessation ailleurs toujours à l'identique cette once perdition amertume à la terre rêve fait événement au néant acter la désinence radiale après l'oraison rien qu'une brillance dernière à l'horizon flibustier, telle élégance...
La nuit prend mais ne retient pas elle use amère en réticences nos errances bombées par-delà l'hémisphère indu à quelle insolite loge après sorgue inouïe un élan infini et sommaire rien n'existe qu'une affliction...
Rien là. L'oubli comme leurre évanescence hier est demain parmi l'ombre simulacre quelque élan cette trace à nos scansions crasses heure encore iridescence lasse à l'interstice vacuoles de temps par-delà frontispice de mouvements en errements une once même.
Manque est là lointain comme l'azur horizon non aventure lasse intérêt d'expérience ruine crise hier après les ans métamorphose ?
Foin de carte du tendre, ou de flots de basse continue, seulement ce brouillard, par-delà la conscience, et cette échéance, coma.