pourpre son venin cogne au parterre
cuisse de nymphe émue à nulle autre pareille
sa bouche est sèche;
l'échine lasse,tavelures
sur le tronc secoué
acide sur le sol
substance odorifère
et pulsations du souffle,
submergé...
bourdonnent encor les heures
et les coléoptères,
résonne
le crâne
ou le
parterre
ou rien,
il disparaît...
l'auréole s'étend au tréfonds avachi.
samedi 25 avril 2009
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