dans le paradoxe fermien de nos solitudes,
et dans l'amnésie mémorielle de nos renoncements,
les affres certaines face au vide ardent
laissent filer plus d'espace qu'elles n'en puissent contenir.
se prélassent à la lumière faible d'étoiles pâles
nos corps spongieux et caverneux,
aux étiolées fibres gliales,
chevaliers immobiles et errants
- de l'oubli(c... au secours!),
se refusent au monde
en un réalisme, énivré et nocturne
ultime violence au crépuscule chancelant...
samedi 25 avril 2009
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