(...)
Est-il possible que ma raison et mon désir me fassent d'abord connaître l'avenir dans ses contours glacés et que je n'entre dans la réalité de ce même avenir que progressivement, tiré et poussé par eux ?
Il nous est permis de prendre dans notre propre main la volonté, ce fouet, et de la brandir au-dessus de notre tête.
in Journal, 16 octobre 1916
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