je suis endorphine, tu es noradrénaline
rien n'existe presque
fibres nerveuses/gliales loges
des mensonges & des vertiges
voies exsangues longues
à perte de vue volatile
ne rien voir est voir encor
tu es létale, je suis mental
il se peut cependant/que nos regards fringants
s'invitent
s'éclipsent
et se perdent
par-delà ces limites
explorer strates vides
quand neuro transmet heurts
l'incidence valide hier certes
nous ne sommes rien
qu'un choc électrique incertain
au-delà de ruines
aux contours nébuleux.
samedi 11 mai 2013
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Salut, c'est superbe ce que tu écris. Continue comme ça ;)
RépondreSupprimer@LibertaireBesac