n'aime rien que l'amer
sa géographie frêle
te guette.
n'attends pas l'horizon
sa cavalcade vaine
te guigne.
n'imagine rien tant
que l'ennui profond qui
te forge.
n'éteins pas ces lumières
leur souffle saturnien
t'aiguille.
n'omets point la raison
son attrait souterrain
te gorge.
sois le néant, camarade
oublie pour mieux te souvenir,
et malgré ce chaos
inébranlable
vocifère.
lundi 31 décembre 2012
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