Je me hais je me charge je m’étends je m’encore je me vomis
je m’aime presque je néons en la nuit mensongère j’attends rien hors
l’endorphine je mélange je subtile je suis blême à nos zones futiles je me
blesse avec élégance en circonstances point même morbides je fuis je merde loin
d’ici peut-être je ronge un frein en sursis je m’aperçois livide suicide je
creuse encor au fond même et même encor j’aveugle indépendance je suis seul en
ce nid je déforme l’ennui et l’atmosphère pour le meilleur du pire insincère je
corromps l’ombre et l’improbable semonce je pétrole et alors
j’obsolescence même je me noie en cet espace bref je ne rien justifie je
m’enfonce toujours bien après les nuits l’insolence en lente lave je sais je
fuis je dis je jonche et je ruine alone
cette essence je conçois ton répit (hier…)
vendredi 19 octobre 2012
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