le temps n'est rien,
sinon l'éternel abandon,
rien d'autre qu'un incarnat horizon
sensible & délétère
une fièvre incertaine
à l'artère peuplée &
mensongère.
un miroir aveugle
à l'ombre dérobée
parmi des illusions pérennes & tertiaires.
l'errance...
l'errance encor scorie manifeste
de l'infiniment rien, où légion sont ces variations
infimes presque...
les paupières sont lourdes
comme l'attente vaine...
le combat est un leurre
l'avenir , équivoque...
mercredi 8 août 2012
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