cette part d’ombre anamorphose échéance élégante et sombre encore l’osmose parcellaire il fuit en dérive amère au sol sa trace reste mensongère aussi et pour un temps en ses veines mêmes l’assaut des horizons se propage amène au gré de tensions formelles & délicates bancale l’aversion versatile élection où sommes-nous ? à la nuit pour certains et au néant pour d’autres… y voir à peine en cette onde propagée : elle s’efface…
mardi 6 décembre 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire