je ne veux plus croire le croyable, fournir quelque effort artificiel, regarder après mon voisin qui dure si peu, offrir une métonymie partielle, attendre la mort comme une étreinte - bien nase, oui... je ne veux rien qu'entendre trois sons, et les voir encor, et les sentir pour un temps plus ou moins court, mais réel, ou terrible, ou bien... je veux courir toujours en un décor intenable et incertain au milieu d'une ville à l'innocence vaine... je n'attends rien tant qu'une valse, élégante et soudaine... sourde & compatissante, au loin... infinis pour un temps, ces pas ingambes... sempiternels...
samedi 9 avril 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
C'est clair, on est perdu sans ses parents (sempiternels) au milieu de la ville ('in the heart of the city' http://www.youtube.com/watch?v=hlCxGDMvvNw )
RépondreSupprimerMerci de citer Flaubert sur ma photo, c'est flatteur :) Les textes ici sont fous comme j'aime!
RépondreSupprimer