... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

mercredi 16 mars 2011

sur pierre ardente, mezcàl...

il ne sait plus, ne sait plus, il ne sait plus bien ou mal. il arpente ces rues misérable intimes mentales. il présage imbécile cette extinction soudaine. idoine et délétère. atroce & triomphante. il ne guette plus et expose son imprudence vaine… piètre & singulière… tragique… tragique. au sol insolent il vibre à même… météore élégant qui se perd aux confins… il frémit. éphémère sa geste est irrésolution potentielle. à ce frisson succomber, augure-t-il… frasques amères.  il s’étend et scrute. rien. pour rien longtemps ou presque indolent. à blanc elle siffle la balle acerbe… il aspire féroce…à l’anfractuosité, boire.

2 commentaires:

  1. C'est difficile de te commenter. Je te lis tous les jours, tu es redoutablement efficace et brillant ! Mais chut ... je ne t'ai rien dit !

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  2. à l'élégance du verbe j'ai trempé mes yeux.
    à l'originalité de l'expression je me suis arrêtée.
    J'ai fini par laisser une éphémère trace.

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