embrasse-moi là
et dévoile
sans oublier ta morgue
mon incohérence
glisse & blesse
corrode
encore
ton élixir est un poison
estimable
sourd
toujours quelques secondes
j'oublie
si peu
l'espace atroce
mon tressaillement
une prémisse tienne
lourdes, lentes... caresses
coudoyée la brume
au matin petit
en cette ivresse vague...
dimanche 27 juin 2010
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