s'égarer au matin est la forme d'hommage toujours renouvelée aux nuits électriques en cheminement las ivresses souveraines attendre rien est attendre quand même et cette main qui fend l'air à la verticale laisse sur son passage quelque atome grisé un fourvoiement certain et des rafales sombres l'obscur objet du désordre incarné par l'oubli délétère et douteux se manifeste ainsi aux limites du jour l'arène furieuse s'éparpille en lenteur et cet ultime pas à l'empreinte indistincte fait ou défait peut-être...
la peur fait vivre.(Sc.)
dimanche 23 mai 2010
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