... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

vendredi 11 mars 2016

Néant langue espace...

Sauvage errance Agonir La bête Restreinte cependant Espace ailleurs Amollir A la pierre debout alourdit thème Ce vent un poëme de lèvres à peau magnanime Sans lendemain quelle chose référence induite Rompre est ce devoir ainsi fumigène à travers la nuit mensongère Oeil cru noir regard celle du réel réalité insigne Je l'histoire à l'infini du temps l'énigme hier ainsi Soit alors la somme presque Une pensée après l'autre telle est l'indécision Chute réelle à travers rien Ou presque Allégation l'énigme Venir même pour rien Geste ancien que l'amour A tes yeux tel sourire parfois langue lèche ligne... Tu je non même encor contradiction, après malaise, bouche nez larmes amères, non même jour le plus long, confondus stances à la pénombre, & l'autre est moi quand l'instant s'accroît, malgré du toucher long gardien, C tracé après l'éclat de nos monstres posés en trou(s) noir(s), cet image indistincte, Sur la terre prends-moi, catastrophe obscure, toi, Ta langue est cette bouche, ta vérité ce mot, ta nudité cet antre, Que dire encore ce frisson, à l'échine caprice, Ciel, croire encor, touche la terre O paradoxe, Quand l'homme du signe s'éloigne sur terre alone après ces voies les interstices, alentours l'os cette scansion à l'avenir & Déraison unique émotion par-delà qui vibre à la terre présence morts ta pensée est la mienne Imminence après décor ciel avide errant hélas Date douce désespoir et dans le vent. Et cette ligne qui fait des boucles, d'espace/temps peut-être, reste un miroir, de ma langue en ta bouche, un néant d'espace...


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