... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

lundi 16 juin 2014

ordaliques...

hanche sourire cheville lasse... quelque insomnie d'errance à la balafre. à l'infini limite, rien... insoumise encor insoumise... merdre. à l'intervalle élan après la peine, supplice pourtant hier... au crépuscule d'ombre ton innocence prime... par-delà les bruits du monde la fantaisie furtive... l'espace du renoncement n'existe qu'après ces nuits incertaines & ordaliques. au-delà des cieux figures. merdre. je te sais la fin... se réflète ainsi et au hasard... stupeurs après les strates et ses tremblements, aux brasiers dans le vent tache transparente... merdre. nos vies après-demain, entre tourment & légende, auprès de cette apparence, énergumène... tu l'as su je le sais... à la nuit la mort a souri, et puis merdre. l'avenir est ainsi, élan pour une seconde, voire... encore l'éthanol & sa connerie crasse...  à l'origine un phare, à la fin un sursis...

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