... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

vendredi 6 février 2015

dans l'ombre...

seul à la pénombre atmosphère après rien ce silence immobile os ainsi à ce corps tourbillons hémisphères après les métaphores vibrionnantes la douleur tout au fond existe liminaire bien l'antre au corps énergumène savoir l'anse à nulle autre pareille sifflement par les murs inestimable zone à la langue gonflée après les strates en chimères telle une errance mensongère qui, où, quoi , après le mot longtemps, premier trait , quelque part, sortir de ce tumulte, au hasard. murmure ou gémissement à la pensée du mur succède l'agrément pour un temps incertain le souffle quelques mots hier incohérence & fin de voix barre d'attache place des mots ou ligne trace possibilité d'errance ou sorte de petit miracle imprécision du moment écriture seconde onde instable répétition discours dans le désordre silence affolement autres mots autres sens déroulement du temps en saccades ou en flash écoulement du sang toujours un peu le même famille obreptice ou distinction du vice après le temps ou les temps poursuite haletante avec l'ordre quelconque et sans repère à la cassure après la lutte avec le silence vibrent encor opaques les moments ou monuments l'espace balayé jusqu'au fond de la fin.

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