... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

dimanche 23 septembre 2012

on en a jamais fini.

j'aurais toujours voulu être un bon garçon, faire des études longues ainsi que de l'argent, toujours plaire aux filles qui plaisent  aux autres, ne plus boire ( malgré le fait que la vie afflue quand l'apéritif s'étire) et user d'excitants - mais point d'hallucinogènes - pour être bel par tous les temps, mais non...

mourir d'un arrêt cardiaque, comme tout le monde / se convertir au surréalisme via days of your lifes / avoir la passion du kir / et celle de la feinte / toujours être ailleurs / et désirer savoir ce que sont devenues Laurence Romance (rock express) ou Véronique Delbourg (l'esprit de famille) / tant de vies incertaines, mais non...

limites intestines: Joy D à l'épreuve de l'onde propagée: par ici manifeste. ailleurs, le vide, ou... je ne suis rien, comme tout le monde, clandestin pas même. la vie est monotone, sauf à l'explosion de bombes - de peinture, ou presque... encore mais non...

on en a jamais fini. on pèle sans soleil, ou bien on chute sans ravin. on se marre sans grâce, et on attend rien, avec élégance... tirer plus souvent et voir sa vie en la pénombre, sauf... boire encor et vivre quelque instant nos persistances rétiniennes, sinon...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire