La nuit m'indiffère. La relativité du temps m'amuse. Le jour n'existe point. Les ondes gravitationnelles remuent. L'orage m'émeut, presque. La distance écarlate. Expansion d'un espace/temps en réaction. Encore une errance. Parmi le vent, des molécules; à se griser. Encor'. Encor'. Secondes de frasque(s) avec l'éternité. Après ces lames, quelle réalité ? Rien, même, à l'instant blême...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire