Le socle, le cyclorama continuent à tourner, le film à se dérouler, le télex à se dévider et, pris dans ce mouvement régulier, dans cet éternel retour, venant y faire accident: une tenue qui se défait, s'effiloche, des maquillages qui coulent, quelqu'un qui tombe dans une ville en grève. Choses qui se font en pure perte ainsi que pisse, merde, salive, un chat aux yeux d'émeraudes et des braclets d'or dans la barque d'un mort.
in Telex n°1, Jean-Jacques Schuhl, p.107, L'Imaginaire/Gallimard
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