samedi 23 juillet 2016

ton antre.

je t'errance après l'épave, la mort en bandoulière, édifice incertain, violence minime...deviens mienne ta  langue, par-delà le dôme, ouvrage insupportable en empire mécanique... horizon filin, après les zones d'ombre... embarras pour demain. la balle est élastique. descendre, souscrire, les cimes criminelles après quelque instant ivre... concevoir ce moment, loin du tumulte vain, avec ses  fondrières, un élan nébuleux, à peine déconstruire... ton antre.

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