les rues la nuit l'indifférence, les rues la nuit cette distance... rien n'existe que les soirs après la semonce... longue incertaine. le quai n'est rien, l'errance grêle et lasse, encor... liquéfaction lente et insolente. n'y voir ainsi rien d'insolite... timon n'existe. éloquence étranglée, le silence est chair, par-delà le malaise... quelques secondes humaines et mensongères. nous étions fols nous étions loin nous sommes certes un élan vain... les rues la nuit l'absence, les rues la nuit l'éclipse intense...
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