naturelle à la roche ma vulve très nettement au centre
de mon corps écrit à l'oxyde de manganèse ainsi me voient-ils aussi
omphalos de leurs terres fertiles consommateurs de déesses
ils lèchent cette lézarde depuis des temps
immémoriaux y introduisent leur langue
même ils se fendent d'un lièvre - en dépôt à mes pieds - plus rarement d'un python
ils usent leur salive à me parler d'eux seul le soleil en alternance
avec le gel pénètre jusqu'à mon coeur
environs du bouc (p.65) éditions comp'act
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