oZone, la sienne, infinie & mensongère...
pale blue eyes, ou presque... ma confusion, corrosion vile sempiternelle... guette son monde et mon émoi... oZone, si proche & lointain... j'enlace encor sa fantaisie,
charnelle ... silence ou souffles, amènes... par-delà cet
interdit mâtiné... des nuées de temps en poussière... oZone subit & éternel...
Puis vient la douce résilience ...
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