fascinant métrage, entre onirisme, érotisme, et folie douce. intime eschatologie... sidération suprême...
à la fin, le film se consume en utilisant l’une des plus belles chansons d’amour au monde. Cinq dernières minutes bouleversantes après une série de trucs un peu dingues. Mais, tout cela, c’est un style. romain le vern
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