la mort est ici et regarde de son oeil torve sombrer les vivants...
son mensonge a fondé sa perdition...
et cette existence abrupte sa déraison...
l'extase est dissolue, et l'ivresse en péril; soudain ils furent nus,
l'ombre souveraine et ses plaies souterraines
entraperçues...
jetées là par inadvertance,
réduits à néant d'infortune compagnons
à l'abdication incertaine,
aux corps entravés peut-être,
et ces passions éphémères, une impulsion volontaire...
dans l'absence de jeu & d'éclatant trépas...
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