samedi 30 juillet 2011

vendredi 29 juillet 2011

revoir ailleurs...

l'ailleurs est ici même: mol, terne, ou morne, tel...

mardi 26 juillet 2011

personnal jesus, johnny cash

le personnal jesus de depeche mode, réinterprété par l'immense johnny cash... éternelle plaie...

jeudi 21 juillet 2011

gorz not dead

 quand tout aurait été dit, tout resterait encore à dire. mon premier travail, dans lequel j'ai voulu tout mettre, m'est tombé des mains comme un amas de feuilles mortes. j'ai cru que c'était la faute de sa conception. mais voici que le second me tombe des mains de la même façon: tout reste encore à dire; toujours tout restera encore à dire.   in le traître.




à ouïr, absolument: 

samedi 16 juillet 2011

dé(s)

dévore dévaste dérive démence
îlot d'extase en océan d'ennui
anthracite délire à l'immanence feinte
jacta est alea ainsi...
désir(s)
désir, infinitive geste
fin du commencement
de l'éclipse insolence
déviance à l'esprit
par-delà le décor...




jeudi 14 juillet 2011

contre la nuit #5


nocturne précipice...
si proche et lointain...

mercredi 13 juillet 2011

suis-je là

scélérate scansion au loin interpelle parmi les oraisons d'innommables candeurs exhalaisons funestes suis-je là proche d'un abandon involontaire ou ailleurs en veillées incertaines comment l'attente vaine d'actualité toujours lamine capricieuse à l'ode endolorie je guette... quelque feu la nuit blême et la fable s'étend comme l'atmosphère implacable souveraine ou bien dissimulé cet antre et nos failles meurtries à l'avalanche suis-je là phénomène versant au moins l'orage éploie en son passage même indolence lestée et l'électrique transe une prosopopée...

mardi 12 juillet 2011

prisme(s)

ne plus accroire étendre enfin
étreindre roide destinée
humaine et mensongère, évidence
ingambe et las interstice
mortel ennui ineffable
et rogue
et formateur
ou bien rien ici encore
feux éteints à la croisée
incertaine
et longue
et lourde
ne plus choir flou
larme à la main
inconséquence
envol de paroles
étrange item
à l'exosphère tense
une déréliction
qu'elle est lente la plainte
et morne l'illusion
par delà l'ambiance, soudain...



jeudi 7 juillet 2011

contre la nuit #4

en ses volutes, s'enivrer encor, par delà les ténèbres...

mardi 5 juillet 2011

hier à peine

éhontée cette fable
finir, hier à peine
savoir, blême élégance
pour le pire étendu, lâche
en ce rogue abandon
enfin apothéose... voir

vendredi 1 juillet 2011

paradoxe#1

partout sempiternel, moi qui suis l'inconstance même...