samedi 27 mars 2010

je hais les populaires adages - 2

le truc, ce n'est pas: quand on veut, on peut, mais quand on peut, on veut, assurément...

dimanche 21 mars 2010

situ feu

masque haut, voix basse...

l'éternité subsiste, la vérité déchire...

ce bûcher insigne...

il est précieux d'assimiler cela, pour endurer durer, continuer encor jusqu'au soleil prochain...

samedi 20 mars 2010

à l'ouest

V
I
C
I
E

l'interlude,

et admirable encor...

l'oeil incertain s'égare;

toujours plus, par le fond, boire...


vendredi 19 mars 2010

mercredi 17 mars 2010

bertfromsang & karl...


sur terrain plat, de simples buttes font effet de collines.

dimanche 14 mars 2010

expiration

perdre l'aine
et sa lente caresse
traverse
l'oblique chemin
en un tressaillement infime
intime le désordre
à l'étendue hostile
sombre est l'implosion
et douce l'amertume
au fond de la gorge offerte

samedi 13 mars 2010

dont care

avoir moins envie de mourir la nuit que le jour
interrompre la corruption au nom de l'impureté
devenir étranger
la main tendue semble anxieuse
minimum vitae
préméditation démenti nicotine arc réflexe vague stade ultime descente abréaction lettrine variations apothéoses brume passagère & vociférations...
des traces...
en une extinction, il avait appris l'évitement
en une éminence, les poussières
déchoir rapidement
lentement déchoir
en un même effort animal
elle gémit...

dimanche 7 mars 2010

je hais les populaires adages

parfois, il vaut mieux être mal accompagné que seul.... et à d'autres moments, il est préférable d'être seul que bien accompagné... voilà l'histoire...

samedi 6 mars 2010

nuit # 99

flambées... enténébré, l'épanchement s'éteint en un râle saillant... flashes de contrebande... INTERROMPU LE COURS DES CHOSES / mademoiselle treize s'ébat en sa rage folle... la persévérance reste une qualité pour ceux qui l'ignorent. éclats de sang anthropophages sur cette joue blême... caresses... strident ce malaise comme porté en bandoulière allez lui assurer après ça du soutien de tous, ou à peine... l'étançon est un leurre. QUELLE EST DONC CETTE NUANCE ? glossolalies, danses macabres, s'allongent au loin quelques masses sombres et mensongères... apprendre à projeter son halo est un exercice vain. gospel d'apocalypse, suffocations certaines, des murmures s'échouent aux vertiges fixés par l'oeil alerte encor et leur saisissement est un calvaire encore long le chemin... ON NE L'A JAMAIS SU. serait-ce l'ivresse ou le désespoir ? ocre le ciel, acide l'air, cubes-écrans acrimonieux laissés là au hasard, ce monde sombre / travailler fatigue caisson saute toujours épave épave l'abandon est un étourdissement impassible poison exquis et enivrant... DISCERNEMENT MENT ? telle la libellule son ondulement... flammèches vacillantes & venimeuses, enfin...